TEXTE FRANÇAISE
Aujourd’hui plus que jamais, la planète terre vit une crise écologique qui ne cache plus ses marques : le réchauffement climatique, la disparition progressive des espèces, la destruction continue de leur habitat. Les grandes avancées technologiques vont en même avec les grandes menaces de dégénérescence de la vie sur terre.
Cette situation a amené depuis maintenant quelques décennies, les décideurs politiques, les scientifiques et autres acteurs, d’envisager un développement qui s'inscrive dans la protection de l’environnement….plusieurs conférence internationales se sont tenues à cet effet et la question fondamentale reste celle de savoir comment concrétiser, depuis 1972 à Stockholm, l’idée d’écodéveloppement devenue développement durable à Rio en 1992 ensuite à Johannesburg en 2002. (…) .
(…) protéger, préserver ou encore conserver l’environnement et/ou la biodiversité, c’est sauvegarder un réservoir des solutions futurs à nos problèmes. C’est préserver l’avenir de l’humanité. Nous devons prendre conscience de l’importance de protéger. Car, protéger l’environnement, c’est protéger l’humanité développés dans les secteurs de l’environnement en Afrique centrale pour le moins questionnante si pas suspecte. Progressivement l’idée de ‹‹ patrimoine commun de l’humanité›› se chuchote au sujet de ces forêts mais elle se butte à une farouche opposition des pays abritant ce massif forestier qui le considèrent, chacun dans les limites ses frontière, comme étant une richesse nationale. (…).
(…) Pour envisager le développement durable des Etats du bassin du Congo à travers, entre autre, la protection de leurs forêts, il est indispensable de tenir compte des réalités local caractéristiques des modes de vie, des visions du monde des populations concernés, particulièrement leurs rapports avec la nature, en l’occurrence les forêts, car toute société dispose d’un ensemble de savoir-faire et savoir penser qui expliquent sa manière particulière d’organiser son rapports à son environnement et de le gérer selon une logique qui, pour n’être ni cartésienne ni marchande, n'en pas moins une certaine rationalisation qui doit être prise en considération… . (…). Joël IPARA MOTEMA.
QUESTIONS SUR LE TEXTE
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