LANGUE S1

ENGLISH TEXT

                                 Developing agriculture and smalt industry in rural DRC, which is crucial for poverty reduction, depends heavily on reopening rural roads. In this context the sector has benefited from massive donor support.

                                The World Bank for instance is implementing a major project of over US $ 50 million for the "High-Priority Roads Reopening and Maintenance”, which development objective is to re-establish lasting access between provincial capitals and districts. The latter should re-open about 1,800 kilometres of the high-priority road network and ensure their maintenance thereafter. The land connection between the provinces of South Kivu and Katanga, and within Oriental province should be re-established. This road network will serve the highest populated areas and connect to a network of about 7,000 km of high-priority roads already funded by various donors.

                              The roads targeted are Kisangani - Buta (at the borderline with South Sudan) - Bondo - Bunduki (620 km) crossing Oriental province and connecting to Equateur province; and Uvira - Kasomeno (1,180 km) crossing the South Kivu at the frontier with Burundi Republic and Katanga provinces.

                               China is also a major player in the sector, and recently earmarked U.S. $3 billion of a US. $5 billion loan for transport development during 2007. Within the latter, a road project linking Kisangani in Oriental province with Kasumbalesa in Southern Katanga, a major frontier post with Zambia will be implemented.

                               Belgium and the DFID (British development cooperation) are also intervening heavily with several projects. Rehabilitation of major roads should facilitate trade. These projects include: reparation of 1,500 km of roads in Kongo Central, in the cataractes and Bas Fleuve districts: 721 km of roads in Eastern Kasal, to open up the Kabinda/Lubao region, the Ngandajika region and the city of Mbuji-Mayi: 131 km of roads between Mbuji Mayi and Lusambo; 125 km of roads in Bandunda and 110 km in Kongo Central to allow agricultural products to be transported to big cities.                                                         Recognizing the vulnerability of earth roads to rainfalls and heavy trucks even if limited in number, an extensive maintenance programme has also been put together, funded by a newly created Road Maintenance Fund.

QUESTIONS BASED ON THE TEXT.

The title which best suits the first paragraph is:

These are the countries which contributed to the rehabilitation of roads:

The paragraph which tells you about the state of rural roads in the rainy season is:

All the sentences fit with the content of the passage above, except one:

Match the words in column (A) with their meanings in column (B) to make
a correct association (C).
         A.                                               B.

1. Donor                   a. buying and selling things
2. Trade                    b. region, piece of land
3. Truck                     c. many lines crossing each other

4. area                      d. one who gives something

5. network               e. thing with wheels for carrying goods
                                   f. prepare land for crops
 

According to the text, if we stop rehabilitating and maintaining roads in good state:

QUESTIONS OUT OF THE TEXT
Indicate the missing words to complete the sentences 7, 8 and 9.
Derrikson and his father cut the mango tree today,.....?

Please, add ……... u to this word and ……... x to the following.
 

The man...... lives here is against your family.

 

TEXTE FRANÇAIS

                      L'agriculture a depuis longtemps été vue comme le socle du développement en Afrique, et la mauvaise gestion du secteur comme la cause directe de son échec. Pour beaucoup d'auteurs, l'Afrique est avant tout agricole, et les politiques suivies en la matière ont débouché sur une impasse. [...]  

                      Dans de nombreux pays, il est notamment fragilisé par sa dépendance vis-à-vis des cultures de rente développées pendant la période coloniale et destinées à l'exportation. Du Ghana, par exemple, est tributaire de l'évolution des cours mondiaux du cacao, celle du Mali des cours du coton, celle du Kenya des cours du thé. Certaines de ces cultures ont conduit à l'appauvrissement des sols, comme au Sénégal où la monoculture de l'arachide a abimé un écosystème déjà fragile, ou en côte d'ivoire où la culture du cacao s'est faite au détriment du couvert forestier. L'agriculture africaine souffre d'un manque de compétitivité. Dans un contexte de croissance démographique, l'Afrique est ainsi le seul continent où la production agricole par habitant a baissé au cours des quarante dernières années.

                             Les prix payés aux producteurs ont toujours été très faibles et la plus- value tirée de l'agriculture a été la plupart du temps utilisée pour assurer la paix sociale et le développement des villes. Dépourvues de protection sociale, d'accès facile au crédit, de moyens pour maîtriser l'eau, pour stocker et commercialiser leurs récoltes, les populations rurales disposent aujourd'hui de peu d’infrastructures : écoles, dispensaires, routes, approvisionnement en eau et électricité sont insuffisants, voire inexistants. De mauvaises conditions climatiques, comme les périodes de sécheresse des années soixante-dix au Sahel, font partie des facteurs qui ont aggravé cette situation [...]
                             Aujourd'hui, l'agriculture emploie en Afrique 57% de la population, assure 17% du PIB et procure, bon an mal an, 11% des recettes d'exportation. Cela implique d'en faire une priorité dans le processus de développement avec la mise en place des politiques publiques extrêmement volontaristes avec des budgets importants. En clair, les exploitants et producteurs agricoles doivent donc définitivement abandonner la machette et la houe pour des tracteurs et des semeuses mécaniques. Entre autres éléments de modernisation, il faudrait prioritairement compléter la réforme agraire sur le continent. L'accès à la terre est l'une des inégalités les plus flagrantes de l'économie africaine et elle contribue également à un abandon compréhensible du métier d'agriculteur.
                                Par ailleurs, les mauvaises récoltes liées principalement à l'irrégularité des saisons pluviales dont dépendent les productions agricoles dans beaucoup de régions africaines, empêchent les agriculteurs africains de répondre aux besoins des populations locales de plus en plus en demande. Pour l'organisation des Nations Unies, il ne fait donc aucun doute que ce facteur est à l'origine de la famine et de la malnutrition chronique dont souffre une partie du continent.
                               Comme dans plusieurs secteurs de l'activité économique, l'agriculture africaine est à la traine. Balloté entre des plans de développement inadaptés et les aléas climatiques, ce secteur de production affiche des résultats en dents de scie. Si on y ajoute les années de crise et les multiples plans de restructuration des années quatre-vingt- dix, il ne faut point se surprendre que la disette sévisse de plus en plus sur le continent.
                                                                                                                                                                                                   Léopold NSEKE
 

QUESTIONS SUR LE TEXTE

Indiquez le titre qui convient à ce texte.

Indiquez l'une des causes de la contre-performance de l'agriculture africaine.

Identifiez l'idée conforme à la pensée de l'auteur.
 

Identifiez la proposition capable de relancer l'agriculture africaine.
 

Indiquez la fonction du mot souligné dans la phrase suivante : « ... il ne fait donc aucun doute que ce facteur est à l'origine de la famine et de la malnutrition chronique dont souffre une partie du continent. »
 

Dans la phrase suivante «... la plus-value tirée de l'agriculture a été la plupart du temps utilisée pour assurer la paix sociale... », l'expression soulignée a pour signification:

« Comme dans plusieurs secteurs de l'activité économique, l'agriculture africaine est à la traîne. ». La proposition soulignée signifie que:

QUESTIONS HORS TEXTE
La somme annuelle allouée à un chef de l'Etat s'appelle:

Indiquez la proposition (III) qui associe correctement les noms des auteurs (I) à leurs
œuvres (II) respectives.
           I.                                                                    II.

1. Mongo Beti                                  a. Sept frères et une sœur          
2. Camara Laye                                b. Le petit prince   
3. Antoine de S^t Exupéry                c. Climbié        

4. Bernard Dadié                             d. L'Enfant noir       

5. Zamenga Batukezanga               e. Mission terminée       

Dans la phrase : « Il passe pour le garçon le plus doué de sa classe.», indiquez la fonction du groupe de mots soulignés: