Domaine | Science | Sous domaine | Science |
Section | Technique | Option | Electricité |
Discipline | Automation | Classe | 6ème |
Matériel didactique | Craies de couleur | Auteur | SCHOOLAP.COM |
Objectif opérationnel | A l’issue, de cette leçon, tout débutant devrait être capable de bien maîtriser la notion de code. | ||
Réference | Livre automatisme et automatique, page 16. | ||
Activité initiale |
|||
Rappel Convertir (6B3)16= (?)2 |
Rappel (6B3) 16 = (0110) (1011) (0011) = (11010110011)2 |
||
Motivation de la leçon Nous allons voir la notion de code et son importance dans notre domaine. |
Motivation de la leçon Nous allons voir la notion de code et son importance dans notre domaine. |
||
Annonce du sujet Qu'allons-nous étudier aujourd'hui? |
Annonce du sujet Aujourd'hui, nous allons étudier la notion sur les codes. |
||
Activité principale |
|||
Résumé noté dans les cahiers par les élèves. |
Codage numérique Le code binaire naturel est le code dans lequel on exprime un nombre selon le système de numération binaire. C’est le code le plus simple, il est pondéré et il se prête parfaitement bien au traitement des opérations arithmétiques. Les poids succesifs des bits à partir de la droite (1,2,3,4,8,16,32…) sont très faibles par rapport à ceux du système décimal (1,10,100, 100,…) ce qui est un inconvenient à cause du nombre de bits nécessaire au codage. Un autre inconvenient du code binaire naturel est qu’il peut introduire des erreurs lors du codage des grandeurs variant de façon ordonnée. Code binaire réflechi (BR) ou code GRAY Pour pallier l’inconvenient du codage binaire naturel, on a conçu un codage, appelé code binaire réflechi ou code Gray, tel qu’entre deux codes successifs, un seul bit change de valeur. Le tableau payé suivant donne quelques correspondances entre le codage binaire naturel et le codage binaire réfléchi. Pour construire le tableau des codes binaires réfléchis, on procède par réflexions succesives. Les deux premiers codes étant 0 et 1, on opère une symétrie et on ajoute à gauche deux « 0 » et deux « 1 » : On détient ainsi les quatres premiers codes. En opérant de nouveau une symetrie, en ajoutant quatre « 0 » et quatre « 1 », on obtient les huits premiers codes. |
||
Résumé noté dans les cahiers par les élèves. |
Code « décimal codé binaire » (DCB) Pour coder les 10 chiffres du système décimal, on doit utiliser 4 bits. Dans les codes DCB (ou BCD en américain : Binery coded decimal), on code chaque chiffre selon son équivalence binaire : 0 (0000)2, 1 (0001)2…... ,9 (1001)2, les 6 combinaisons de (1010)2 à (1111)2 ne sont pas utilisés. La représentation d’un nombre se fait donc avec autant de groupe de 4 bits que ce nombre a de chiffres. Exemple : 9708= (1001011100001000)DCB= (100101110001000)DCB Ce codage est pondéré, et les poids des bits successifs en partant de la droite, sont respectivement : 1, 2, 4, 8,10, 20, 40, 80, 100, 200, 400, 800, …
|
||
Résumé noté dans les cahiers par les élèves. |
Codage Alphanumérique Code ASCII, américain standard code for informatique inter change Utilisé pour les échanges en informatique, le code ASCII permet de codes les 26 lettres de l’alphabet (majuscules et minuscules) les 10 chiffres et les signes de ponctuation : il utilise un octet (8 bits). Cet octet donne une certaine souplesse d’utilisation, puisqu’il permet de coder des commandes de contrôler en plus des caractères alphanumériques (bit 1 à 7), d’utiliser le bit 8 comme bit de parité ou pour définir un deuxième tableau de caractères (caractères étendus) |
||
Synthèse |
|||
Résumé de la leçon enseignée. |
Le code binaire naturel est le code dans lequel on exprime un nombre selon le système de numération binaire. C’est le code le plus simple, il est pondéré et il se prête parfaitement bien au traitement des opérations arithmétiques.
|