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La Logique formelle ( suite 7 )
  1. Introduction

 

  1. Rappel

Quelles sont les principales espèces du syllogisme ?

 

Citez les syllogismes imparfaits étudiés en classe ?

 

 

 

 

 

  1. Motivation 

 

 

  1. Annonce du sujet de la leçon du jour :

 

 

  1. Développement

 

C’est quoi un raisonnement par analogie?

 

 

 

C’est quoi un raisonnement par absurde ?

 

 

 

  1. Synthèse 

Que devons-nous retenir de cette leçon ?

 

 

 

  1. Application

 

Formulez un raisonnement pour chaque forme de raisonnement.

  • les logiciens distinguent deux espèces principales de syllogisme : le syllogisme catégorique et le syllogisme hypothétique ou non catégorique.

 

  • Les syllogismes imparfaits sont : L’épichérème, le Dilemme, le polysyllogisme et le Sorite.

 

 

 

 

 

  • Aujourd’hui, nous allons voir dans la logique formelle, le raisonnement par analogie et le raisonnement par absurde.

 

 

 

LE RAISONNEMENT PAR ANALOGIE

Il se fonde sur une ressemblance partielle pour conclure à une ressemblance totale. Il est souvent le résultat d’un préjugé favorable (fanatisme) ou défavorable (méfiance, haine, hospitalité).

Ex : - Il est de la famille d’un savant, donc il est intelligent

-J’ai lu un livre de Sartre, il était intéressant. Je tombe sur un autre livre de Sartre, sans l’avoir lu, je conclus qu’il est aussi intéressant.

 

           LE RAISONNEMENT PAR ABSURDE

Il prouve la vérité ou la valeur d’une proposition en démontrant que son contraire amène à des conséquences absurdes.

Ex : 1) Pour démontrer la valeur du travail, je considère la situation d’un chômeur et j’en tire les conséquences suivantes : oisiveté, parasitisme, pauvreté, vol… J’en conclus qu’il faut travailler.

        2) Quelqu’un prétend que « son féticheur connaît tout et guérit tout ». On peut lui prouver l’absurdité ou la fausseté de son affirmation par ce raisonnement : « Tout être humain a une connaissance limitée ; or ton féticheur connaît, explique et guérit tout. Donc ton féticheur n’est pas un être humain ». (Serait-il alors Dieu ?). C’est archifaux.  

 

 

 

Retenons que le raisonnement par analogie se fonde sur une ressemblance partielle pour conclure à une ressemblance totale. Il est souvent le résultat d’un préjugé favorable (fanatisme) ou défavorable (méfiance, haine, hospitalité). Tandis que le raisonnement par absurde prouve la vérité ou la valeur d’une proposition en démontrant que son contraire amène à des conséquences absurdes.